Publication de l’ouvrage de Viva Paci aux Éditions Aléas, dans la collection Cinethesis.
RÉSUMÉ DE L’OUVRAGE
Le cinéma mène une double vie…
Tantôt il étonne le spectateur avec des attractions spectaculaires, tantôt il l’accompagne pas à pas par une habile narration. Telle est sa « nature » profonde : raconter des histoires et mettre des actions en séquences tout en confrontant énergiquement le spectateur à des visions surprenantes.
Les images se suivent avec régularité et fluidité, mais cette impression de mouvement continu est parfois perturbée par quelque chose qui détonne. Tel est le cas en particulier d’un genre cinématographique des plus classiques : la comédie musicale.
Viva Paci
Sous la direction de :
André Gaudreault (Université de Montréal)
Martin Lefebvre (Concordia University)
Partenaires :
Cinémathèque québécoise
Collaborateurs :
Advanced Research Team on the History and Epistemology of Moving Image Studies, (ARTHEMIS, Université Concordia)
Centre de Recherche sur l’intermédialité (CRI, Université de Montréal)
Permanent Seminar on the History of Film Theory (Musée national du cinéma de Turin)
Observatoire du cinéma au Québec (OCQ)
Conférence de Jacques Malthête (Association Les amis de Georges Méliès) et André Gaudreault.
Université de Montréal
Sous la direction de :
André Gaudreault (Université de Montréal)
Laurent Le Forestier (Université Rennes 2)
Partenaires :
Association Les Amis de Georges Méliès
Mission des Célébrations nationales des Archives de France, Ministère de la Culture et de la Communication (France)
Université de Montréal
Collaborateurs :
Jacques Malthête
Stéphane Tralongo
Cerisy-la-Salle (France)
Caroline Chik (Université Paris 8)
Université de Montréal
Conférences de François Jost (Université Paris 3) et Fernando Andacht (Ottawa University) dans le cadre des Rencontres doctorales: Les médias et nous
Université de Montréal
Conférence de Murray Pomerance (Ryerson University)
Université de Montréal
Publication de l’ouvrage d’André Habib aux Éditions Yellow Now, dans la collection Côté cinéma/Motifs.
RÉSUMÉ DE L’OUVRAGE
D’où vient-il que la ruine au cinéma exerce un attrait, au point de vouloir lui consacrer du temps, un livre, et penser qu’un quelconque lecteur puisse vouloir y accorder son attention ? […] Peut-être est-ce parce que la ruine, telle qu’elle s’incarne au cinéma, que ce soit comme décombres de guerre ou vestiges antiques, chantier désaffecté ou lambeau de pellicule rescapé, exacerbe ce lien mélancolique, quasi ontologique, qui nous attache au temps et à la mémoire du cinéma […]